Depuis le mois de juillet, une majoration temporaire de 15 euros est accordée aux libéraux pour les consultations non programmées régulées par le 15 ou le service d'accès aux soins (SAS) et pour les patients dont ils ne sont pas le médecin traitant. Objectif : soulager les urgences hospitalières durant un été à risque. Aux mois de juillet et août, ce ne sont pas moins de 22 612 actes qui ont été cotés avec ce supplément en France, selon l'Assurance-maladie. Cette majoration a eu « un effet indéniable », a estimé le ministre de la Santé et de la Prévention qui en a salué la clarté et la simplicité.
Avez-vous bénéficié de cette majoration ? Est-elle (suffisamment) incitative pour les médecins ? Pensez-vous qu'elle ait eu un effet bénéfique sur les urgences hospitalières ? Faut-il la pérenniser ? Comment améliorer la prise en charge des soins non programmés ? À vous de débattre…
C’est vous qui le dites
« Faire un diagnostic au téléphone est une folie »
Il est parfois utile de prendre de la hauteur avant de parler des médecins généralistes
La fin de la liberté à l’installation : « victoire » à la Pyrrhus
Éditorial
Passer le cap de la maturité