La 8e édition du Mois sans tabac a débuté ce 1er novembre. Tous les ans, les pouvoirs publics mettent en place des campagnes de communication pour faire reculer le tabagisme. Une question de santé publique mais aussi de gros sous : chaque euro investi dans les mesures de lutte contre le tabagisme permet d’économiser sept euros sur les dépenses de santé, estime l’OCDE. L’organisation plaide pour une fiscalité plus forte sur le tabac. Le Comité national contre le tabagisme estime quant à lui que « l’accompagnement par un professionnel de santé augmente de 70 % les chances de réussir [le] sevrage » d’un patient. Le rôle des médecins de première ligne est donc capital pour faire reculer le tabagisme.
Constatez-vous une diminution du tabagisme dans votre patientèle ? Les campagnes anti-tabac (comme le Mois sans tabac) sont-elles efficaces ? Votre discours sur le tabagisme est-il entendu par vos patients ? Avez-vous suffisamment de moyens pour les accompagner ? Quels sont vos leviers d’action ? Quel rôle pour la e-cigarette ? L’augmentation du prix du tabac est-elle la mesure la plus efficace ? La plus juste ? Comment prévenir le tabagisme chez les jeunes ? À vous de débattre…
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