Inlassablement, ils reviennent à la charge. Pour de nombreux élus, la lutte contre les déserts médicaux passe par une limitation, voire la suppression, de la liberté d’installation des médecins libéraux. Version light de cette mesure : dans les zones excédentaires, un nouveau médecin ne pourrait être conventionné qu'en cas de départ d'un confrère. Ce conventionnement sélectif est-il un moindre mal pour les libéraux ?
Une telle mesure préserve-t-elle la liberté d’installation ? Peut-elle être efficace alors que l’existence de zones excédentaires pose aujourd’hui question ? Et quid des zones déficitaires ? La répartition des médecins sur le territoire pose-t-elle problème ? Faut-il réguler l’installation pour améliorer l’accès aux soins… À vous de débattre…
Il est parfois utile de prendre de la hauteur avant de parler des médecins généralistes
La fin de la liberté à l’installation : « victoire » à la Pyrrhus
Éditorial
Passer le cap de la maturité
La coûteuse organisation de la santé paralyse les soins