Je propose une idée : recruter parmi les « reçus-collés » de la faculté de médecine, ceux qui ont eu au concours une note supérieure à la moyenne mais pas suffisante pour se classer dans le nombre fixé l’année où ils l'ont passé. Et qui seraient peut-être passés l’année suivante avec un nombre de reçus augmenté.
Certains d’entre eux ont probablement trouvé une autre voie. Mais la majorité est faite de volontaires, prêts à donner de leur personne pour ce qu’ils avaient choisi au départ, c’est-à-dire soigner, tout simplement. Alors, pourquoi ne pas leur proposer une formation spécifique, peut-être plus rapide, sachant qu’à terme ils ne demandent qu’à se disperser sur le territoire dans un esprit positif et sincère, pour soigner. Un véritable « vivier » de secours.
Cette mesure serait une « amende honorable » à l’égard de jeunes qu’on a évincés à tort puisqu’on en aurait bien besoin aujourd’hui ; qu’on en a besoin aujourd’hui.
Dr Jean-Louis Claudé
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