« Le plus grand danger serait qu’en ces temps de crise sanitaire, notre société d’exposition se permette de contrôler les individus en fonction des empreintes qu’ils laissent sur Internet. Imaginons le pire : si des places en service de réanimation hospitalier venaient à manquer, comme c’est le cas à New York, il serait techniquement possible pour les autorités d’établir des priorités entre les patients. De même qu’il serait possible de se servir des données personnelles des individus comme moyen de rationner les interventions des ambulanciers. »
Bernard Harcourt, auteur de l'essai La société d'exposition" parue en janvier 2020 (Seuil), in Libération du 16 avril 2020.
Un cardiologue porte assistance à une passagère en plein vol : « je n’aurais jamais imaginé vivre une telle situation »
Arrêt maladie : vers un allongement du délai de carence ?
Covid : la pandémie n’a pas provoqué de hausse durable des troubles anxieux en France, selon SPF
Dr Joëlle Belaisch-Allart (CNGOF) : « La clause de conscience spécifique à l’IVG n’est plus nécessaire »