« Dans les CPNPC, l’expression en PD1 est désormais incontournable en pratique clinique. C’est un facteur prédictif d’ailleurs assez spécifique du poumon, puisqu’il ne fonctionne pas du tout dans les autres tumeurs », note le Pr Cortot (Lille). Le profil de réponse pourrait toutefois être affiné par d’autres paramètres. L’effet de la charge mutationnelle tumorale n’est pas validé. En revanche, la présence et la quantité de l’infiltrat lymphocytaire péritumoral semble très intéressant. « Ces lymphocytes T, bloqués par les PDL1, sont ceux que l’immunothérapie anti-PD1/PDL1 ou anti-CTLA4 réactive. Donc cet infiltrat est un excellent facteur prédictif de réponse », explique l’oncologue. Seul bémol : son évaluation reste délicate. Mais les techniques progressant, il pourrait à l’avenir avoir une place en pratique clinique courante.
D’autres facteurs prédictifs ?
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Publié le 28/01/2021
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Source : Le Quotidien du médecin
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