Un scanner en utilisant de l’erlotinib marqué pourrait représenter une méthode non invasive d’identification des cancers pulmonaires non répondeurs aux inhibiteurs de la tyrosine kinase. Cela pourrait permettre de mieux sélectionner les patients pour leur offrir un meilleur traitement. Un des marqueurs prédictifs de la réponse tumorale est représenté par une mutation sur le récepteur à l’EGRF dans les cellules tumorales.
Sous PET-scan avec erlotinib marqué au C11, les tumeurs répondeuses captent davantage le radio-élément, ce qui se confirme par analyse de l’ADN.
Des résultats préliminaires d’une étude de phase III (Eurtac) montrent un doublement de la survie sans progression avec ce traitement, donné en première ligne chez des patients présentant la mutation sur le récepteur EGRF (9,4 mois versus 5,2 mois sous une chimiothérapie comportant un platine).
International Association for the Study of Lung Cancer, Amsterdam.
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