Les cellules NK (Natural Killer) seraient un marqueur d’évolution vers le diabète de type 1 (DT1), selon une équipe coordonnée à l’université de Cambridge. Un constat tiré des données transcriptionnelles de 400 enfants du consortium Teddy, cette étude prospective suivant des enfants à haut risque génétique de DT1. Facteur causal, réponse de l’hôte à un déclencheur viral (entérovirus) ou les deux, la question n’est pas résolue. Mais avec un modèle prédictif intégrant la séroconversion vers l’auto-immunité (auto-anticorps IAA et GADA) et le changement dynamique de la signature des cellules NK, les chercheurs espèrent pouvoir aider à suivre de façon précoce les enfants à risque, à prévenir l’acidocétose et à mener des essais de thérapies préventives.
L.-P. Xhonneux et al., Sci Transl Med, mars 2021. doi/10.1126/scitranslmed.abd5666
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024