Cette étude a évalué l’expression de 104 gènes associés au diabète de type 2 (DT2) par la technologie NanoString parmi des tissus humains comprenant notamment des échantillons d’îlots de Langerhans, des cellules ß pancréatiques et la lignée de cellule ß humaine EndoßH1. Puis, sur la trentaine de gènes les plus exprimés dans les cellules ß pancréatiques et les EndoßH1, une extinction génique transitoire par siRNA a été réalisée. En cas d’extinction génique supérieure à 50 %, l’effet sur la sécrétion d’insuline était évalué.
Pour la première fois, les résultats ont démontré un enrichissement significatif de l’expression des gènes du DT2 dans les cellules ß pancréatiques humaines. Par ailleurs, l’étude fonctionnelle des gènes enrichis dans les îlots, a révélé l’existence de 4 gènes (PRC1, SRR, ZFAND3 et ZFAND6) à risque de DT2 modulant l’insulinosécrétion et encore jamais décrits dans la cellule ß. De plus, le séquençage de l’ARN a montré une association significative de l’extinction de ces gènes avec des voies de signalisation essentielles de la physiopathologie du DT2 (apoptose des cellules pancréatiques, insulinémie, glycolyse, …). Découverte à suivre …
Abstract CO-39, congrès SFD 2017
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