La manipulation du génome humain dès le stade des cellules germinales ouvre des perspectives inédites pour éviter la transmission à la descendance de certaines maladies graves génétiques. Cependant, de nombreux scientifiques craignent fortement que l’on altère le patrimoine humain génétique. Dans « Science », trois scientifiques canadiens demandent aux États de baliser le recours à ces techniques novatrices et de fixer « les limites de l’acceptabilité ». Ils proposent de s’inspirer du modèle du diagnostic génétique préimplantatoire, d’abord fortement controversé puis autorisé dans de nombreux pays sous conditions.
Science, publié le 21 janvier 2016
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