« Le vaccin Tat Oyi a une action sur le contrôle du rebond virémique (ARN VIH) qui n’a jamais été encore atteint à ce jour par un vaccin suite à l’arrêt de la trithérapie. C’était le critère principal de l’essai clinique. Si la trithérapie permet aux patients de maintenir un taux d’ARN VIH < 40 copies/ml, elle a très peu d’effet sur les cellules infectées par le VIH. Plusieurs études ont montré qu’il faudrait au moins 70 ans de trithérapie pour que, dans le sang, ces cellules infectées deviennent indétectables (ADN VIH < 20 copies pour 1 million de PBMC). Nous avons pu constater que l’association du vaccin Tat Oyi à la trithérapie permettait de faire baisser l’ADN VIH à un niveau indétectable de manière rapide et durable, ce qui est un premier bénéfice pour les patients infectés par le VIH et leur fait donc gagner 70 ans de trithérapie. »
« Le vaccin permet de faire une pause de la trithérapie sans rebond virémique » ce qui fera partie des critères de la phase IIb, prochaine étape du développement du vaccin « sachant que la durée de l’arrêt de la trithérapie sera un des critères de la phase IIb. » Elle ajoute que le Dr Ravaux « fait toujours partie de l’aventure de ce vaccin, et à ce jour Biosantech n’a pas l’intention de se séparer des conseils avisés du Docteur Isabelle Ravaux (à moins qu’elle ne le souhaite) ».
« Les investigateurs de l’étude clinique démentent formellement que les patients soient arrivés à un taux de 100 CD4/mm3 à un moment quelconque de l’étude comme cela est indiqué dans l’article publié dans « le Quotidien du Médecin » le 4 avril 2016. »
« La publication des résultats dans Retrovirology a valu des félicitations au Dr Erwann Loret venant de la communauté scientifique du monde entier, mais également en France contrairement à ce que l’on pourrait penser».
Corinne Treger en tant que présidente-directrice générale de Biosantech indique que « Biosantech se porte très bien et recherche des partenaires pour poursuivre le développement du vaccin dans sa prochaine phase IIb ».
« Le vaccin permet de faire une pause de la trithérapie sans rebond virémique » ce qui fera partie des critères de la phase IIb, prochaine étape du développement du vaccin « sachant que la durée de l’arrêt de la trithérapie sera un des critères de la phase IIb. » Elle ajoute que le Dr Ravaux « fait toujours partie de l’aventure de ce vaccin, et à ce jour Biosantech n’a pas l’intention de se séparer des conseils avisés du Docteur Isabelle Ravaux (à moins qu’elle ne le souhaite) ».
« Les investigateurs de l’étude clinique démentent formellement que les patients soient arrivés à un taux de 100 CD4/mm3 à un moment quelconque de l’étude comme cela est indiqué dans l’article publié dans « le Quotidien du Médecin » le 4 avril 2016. »
« La publication des résultats dans Retrovirology a valu des félicitations au Dr Erwann Loret venant de la communauté scientifique du monde entier, mais également en France contrairement à ce que l’on pourrait penser».
Corinne Treger en tant que présidente-directrice générale de Biosantech indique que « Biosantech se porte très bien et recherche des partenaires pour poursuivre le développement du vaccin dans sa prochaine phase IIb ».
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