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Benzodiazépines : prescrire, c’est anticiper l’arrêt

Publié le 12/04/2016

Le saviez-vous ?

- En 2014, en France, 7 millions de personnes auraient consommé des benzodiazépines (BZD).

- Dans 16 % des cas, il s’agissait d’une prise chronique (plusieurs années).

- En 2015, après une réévaluation des BZD dans le traitement de l’anxiété, la HAS maintient l’intérêt thérapeutique important de ces produits.

- En parallèle, elle publie une fiche mémo pour aider les médecins à proposer une stratégie d’arrêt progressif.

- Respectez les durées de traitement prévues dans les AMM ;

Donc, dès la prescription, anticipez l’arrêt ;
- L’arrêt doit être progressif pour minimiser les effets du sevrage.
- Des outils sont mis à la disposition des praticiens et des patients sur le site de la HAS www.has-sante.fr
 

Le sujet vous intéresse ?

À la lecture de cet article vous vous dites que vous aimeriez suivre une formation sur le thème : « Les benzodiazépines : prescrire ou ne pas prescrire ? » ?
Le Quotidien du Médecin vous propose un programme de formation DPC indemnisée à suivre de chez vous.
 
Dr Emmanuel de Viel

 

Pour vous inscrire

- Trois sessions au choix : 19 octobre, 23 novembre 2016* ;
- Une formation en 3 étapes : un audit de pratique, une visioconférence avec un expert, une évaluation concrète vous permettant de mesurer l’amélioration de votre pratique ;
- Indemnisation 3 demi-journées : 22,5 C/CS soit 517,50 euros ;


Inscrivez-vous

* La date indiquée est celle de la visioconférence. Les dates de l’audit qui précède sont précisées à l’inscription.







Source : lequotidiendumedecin.fr