Le succès n’est pour l’instant qu’en éprouvette. Une équipe de chercheurs de l’Arkansas (Jining Xie et coll.) a réussi à faire différencier en neurones des cellules spécifiques grâce à des nanotubes magnétiques associés à un facteur de croissance nerveux.
La manipulation a été réalisée sur des cellules de phéochromocytome de rat qui requièrent ce facteur de croissance pour se différencier en neurones. Mises en présence des nanotubes, les cellules ont créé des neurites. Ils se sont dirigés vers les nanotubes que certains ont même colonisé.
Le travail montre l’absence de toxicité des nanotubes. Il fournit des espoirs dans le traitement de maladies telles que Parkinson ou d’Alzheimer.
Nanotechnology, janvier 2009.
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024
La myologie, vers une nouvelle spécialité transversale ?