« Les préoccupations alimentaires ne doivent pas empêcher l’activité physique (AP) ! », plaisante le Pr Xavier Bigard, président de la Société française de médecine de l'exercice et du sport. Conseillés avant la mise à l’exercice, des apports glucidiques modérés (50 % des apports énergétiques) pour assurer les réserves en glycogène, ce qui est d’ailleurs peu conciliable avec un régime hyperprotéiné… De l’eau simple pour hydrater, additionnée de sucres si l’AP dure plus d’une heure ; pendant l’AP, 150 à 250 ml toutes les 15 minutes selon l’intensité de l’exercice, la chaleur et la personne. En récupération, de l’eau encore, la restauration des réserves glucidiques et en sels minéraux pouvant attendre le repas suivant. Un apport protéique, 1,3 g/kg/jour chez des sujets déconditionnés, participe au gain de fibres musculaires : « le lait qui associe acides aminés essentiels, lactose et calcium absorbé permet d’optimiser la récupération, au décours immédiat de l’exercice », suggère-t-il.
… Et l’alimentation qui convient
Par
Publié le 09/06/2016
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
Dr Brigitte Blond
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Nutrition
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024