« Je travaille en ville et à l’hôpital, explique Sylvain Bailleux, kinésithérapeute à l’hôpital Béclère de Clamart. Les enfants hospitalisés pour bronchiolites sont très différents de ceux rencontrés en ville : beaucoup plus graves, en détresse respiratoire, perfusés, sous oxygène. Bien sûr, la kiné n’a jamais permis de guérir plus vite d’un virus, mais le désencombrement bronchique améliore les enfants sur le sommeil et l’alimentation. Ils supportent mieux la maladie. Qui osera dire aux parents d’enfants atteints de mucoviscidose que le désencombrement ne sert à rien ? Certes, le coût de la kiné en ville est monumental et ce n’est pas fait partout ailleurs. Il n’y a pas d’autre moyen d’avancer que de lancer un essai clinique en ville. »
Le point de vue du kiné
Publié le 06/12/2012
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9202
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