Une prise en charge « globale » et une « titration » individuelle des réglages du ventilateur au cours du SDRA et répétés dans le temps en fonction de l’évolution de l’hémodynamique, des lésions morphologiques au scanner et/ou échographie et de la mécanique ventilatoire représentent l’avenir du traitement du SDRA.
La ventilation « protectrice » associant l’application de petits volumes courant (6 ml/kg de poids idéal théorique) et d’une pression expiratoire positive (5 < PEP < 15 cmH2O) permet de diminuer les pressions des voies aériennes (objectif de pression de plateau < 30 cmH2O) a participé à la diminution de la morbi-mortalité observée ces dernières années. Le décubitus ventral et les curares peuvent bénéficier aux patients les plus graves.
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