Même si l'information s'adresse prioritairement aux anesthésistes réanimateurs, spécialistes des centres de prise en charge de la douleur ou des brûlés... elle intéresse les généralistes. Dans un communiqué, l'Ansm indique qu'en cas d’utilisation prolongée et/ou répétée de ce médicament (dont les utilisations hors-AMM), et en cas d’abus ou de mésusage, certains effets ont été rapportés :
> Atteintes uro-néphrologiques : hématurie, insuffisance rénale aiguë, cystite non infectieuse, cystite interstitielle et atteinte rénale liée à une obstruction haute (hydronéphrose).
> Atteintes endocriniennes : augmentations de la cortisolémie ou de la prolactinémie.
> Atteintes hépatiques, comme une cholangite, parfois sévères. Dans certains cas ces atteintes ont conduit à des transplantations hépatiques. L’arrêt du traitement doit être envisagé en cas de perturbation du bilan hépatique.
Ces effets sont indiqués dans la dernière version du RCP.
Congrès IAS 2025 : les Français très présents dans la recherche sur le VIH
L’ONU et une centaine d’ONG alertent sur la famine à Gaza
Le gouvernement veut faire du sommeil un pilier de santé publique
Transition de genre : premières recos chez l’adulte, la HAS se remet au travail pour les mineurs