MODY, mitochondrial, DT1 B, LADA sont en général des types de diabètes qui induisent peu de complications de type macroangiopathiques car les autres facteurs de risque cardiovasculaire (CV) sont bien moins présents que dans le type 2.
C’est cependant de moins en moins vrai car le DT2 étant extrêmement prévalent il interpénètre progressivement ces formes rares de diabète et les phénotypes mixtes prennent de l’ampleur. « Ca n’est donc pas parce qu’on a identifié un DT1A par exemple qu’il faut se passer de la recherche des facteurs de risque CV classiques ! » tempère le Pr Gauthier.
Article précédent
Diabète gestationnel : le dépistage fait encore débat
Article suivant
Les nouveaux diabètes médicamenteux
Diabète gestationnel : le dépistage fait encore débat
Moins de complications macroangiopathiques ?
Les nouveaux diabètes médicamenteux
Microbiote : mieux informés, des Français à mobiliser pour la recherche
La dérivation biliaire du bypass gastrique Roux-en-Y protège du cancer colorectal
L’instabilité chromosomique pourrait prédire la réponse à la chimiothérapie
Pour perdre du poids, le jeûne intermittent est équivalent aux régimes hypocaloriques