« Je suis prêt à travailler, même beaucoup, même trop. Mais au moins, qu'il y ait un peu de reconnaissance. Jamais la moindre personne de la direction n'est venue voir ce à quoi nous sommes confrontés. Jamais un remerciement, ni un signe. »
Dr Maurice Raphël, chef de service des urgences du CHU Kremlin Bicêtre (94) in Libération du 21 septembre 2020.
L’Académie de médecine s’alarme du désengagement des États-Unis en santé
Un patient opéré avant le week-end a un moins bon pronostic
Maladie rénale chronique : des pistes concrètes pour améliorer le dépistage
Covid : les risques de complications sont présents jusqu’à trente mois après hospitalisation