De plus en plus de personnes disposent d’applications santé sur leur smartphone ou autres objets connectés. Certains patients suivis médicalement sont liés à des dispositifs médicaux connectés qui assurent la surveillance de leurs constantes. Chaque citoyen devient ainsi acteur de sa propre santé, et même si cela peut entraîner parfois la remontée d’informations non pertinentes, cela a au moins le mérite de susciter des interrogations et éventuellement d’anticiper des complications.
Des applications comme SauvLife ou le Bon Samaritain permettent déjà de faire appel à des volontaires formés aux gestes d'urgence se trouvant à proximité d’une victime d’un arrêt cardiaque afin de procéder à un massage cardiaque avant l'arrivée des secours.
À l’avenir, il pourrait être possible de contacter le Centre 15 via un portail internet pour les demandes de soins non urgentes, permettant de proposer un rappel dans des délais convenus et ainsi désencombrer les périodes de pics d’appels de la journée.
À Gaza, le chaos laisse peu de place aux soins psychiques
Enfants de la guerre et psychotrauma : carnets de bord de spécialistes français
Fin de vie : l’Académie de médecine réitère son opposition à l’euthanasie
Un médecin sur trois déclare avoir été sujet à l’épuisement professionnel, selon une étude Odoxa-MNH