De plus en plus de personnes disposent d’applications santé sur leur smartphone ou autres objets connectés. Certains patients suivis médicalement sont liés à des dispositifs médicaux connectés qui assurent la surveillance de leurs constantes. Chaque citoyen devient ainsi acteur de sa propre santé, et même si cela peut entraîner parfois la remontée d’informations non pertinentes, cela a au moins le mérite de susciter des interrogations et éventuellement d’anticiper des complications.
Des applications comme SauvLife ou le Bon Samaritain permettent déjà de faire appel à des volontaires formés aux gestes d'urgence se trouvant à proximité d’une victime d’un arrêt cardiaque afin de procéder à un massage cardiaque avant l'arrivée des secours.
À l’avenir, il pourrait être possible de contacter le Centre 15 via un portail internet pour les demandes de soins non urgentes, permettant de proposer un rappel dans des délais convenus et ainsi désencombrer les périodes de pics d’appels de la journée.
Transition de genre : la Cpam du Bas-Rhin devant la justice
Plus de 3 700 décès en France liés à la chaleur en 2024, un bilan moins lourd que les deux étés précédents
Affaire Le Scouarnec : l'Ordre des médecins accusé une fois de plus de corporatisme
Procès Le Scouarnec : la Ciivise appelle à mettre fin aux « silences » qui permettent les crimes