Selon le ministère de la Santé, les infections nosocomiales sont la cause directe de plus de 3 500 décès par an en France. En 2006, 17 820 patients infectés ont été identifiés au sein de 2 337 établissements (tous secteurs confondus), soit une prévalence de 4,97 %. Un des taux les plus bas d’Europe: 9 % de patients infectés en Finlande (en court séjour), 9,3 % en Grèce, 6,7 % en Espagne, 4,9 % en Italie. Le nombre de cas d’infections ostéo-articulaires prothétiques en France est estimé entre 2 000 et 2 500 par an. La surconsommation d’antibiotiques, dangereuse, connaît une sensible baisse grâce aux actions en place (« les antibiotiques, c’est pas automatique ») : les prescriptions en ville durant l’hiver ont diminué de 23,4 % depuis 2002. En 2007, plus de neuf établissements sur dix disposaient d’un CLIN (comité de lutte contre les infections nosocomiales), de professionnels en hygiène hospitalière, et d’un programme d’actions annuel.
Trois mille cinq cents décès par an
Publié le 22/01/2009
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
Le Quotidien du Mdecin
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
54 % des médecins femmes ont été victimes de violences sexistes et sexuelles, selon une enquête de l’Ordre
Installation : quand un cabinet éphémère séduit les jeunes praticiens
À l’AP-HM, dans l’attente du procès d’un psychiatre accusé de viols
Le texte sur la fin de vie examiné à l'Assemblée à partir de fin janvier