À l'issue de son comité d'urgence concernant l'épidémie de Zika, l'organisation mondiale de la Santé (OMS) vient de décrète « une urgence de santé publique de portée mondiale ».
La réunion, commencée peu avant 13h15 (12h15 GMT), est organisée sous forme d'une conférence téléphonique entre huit experts, hauts responsables de l'OMS et douze représentants des États membres, dont le Brésil, pays le plus affecté, et l'Argentine.
Le Brésil, où l'on comptabilise près de 1,5 million de cas d'infections par le virus Zika, a lancé l'alarme en octobre, lors de l'apparition d'un nombre inhabituellement élevé dans le nord-est du pays de cas de microcéphalie, malformation congénitale dont souffrent les enfants nés avec une tête et un cerveau anormalement petits. Depuis, 270 cas confirmés de microcéphalie et 3 448 cas suspects ont été enregistrés, contre 147 en 2014.
À l’étranger, des médecins plutôt favorables à l’aide à mourir pour eux-mêmes
749 incidents de cybersécurité déclarés dans les établissements de santé en 2024, en hausse de 29 %
L’affaire Le Scouarnec, miroir des défaillances des instances médicales
Pr Régis Aubry, spécialiste des soins palliatifs : « Analyser collégialement une demande d’aide à mourir évite l’arbitraire et le subjectif »