« Au sein de l’Agence, nous n’avons pas une très grande visibilité des différents projets de recherche visant à mettre au point ce que les médias désignent souvent sous le terme d’organes artificiels », indique le Dr Brigitte Heuls, directeur en charge des dispositifs médicaux thérapeutiques et des cosmétiques à l’Agence nationale de sécurité des produits de santé (ANSM).
« Nous avons certes une cellule innovation qui reçoit régulièrement des sociétés qui nous font part de leurs projets. Mais l’ANSM n’intervient qu’en bout de chaîne au moment de la demande d’autorisation d’un essai clinique concernant des patients français », ajoute-elle. Ainsi, c’est au terme d’un long processus que l’Agence a donné en 2013 une réponse favorable à la demande d’essai clinique pour le cœur artificiel Carmat…
L’Académie de médecine s’alarme du désengagement des États-Unis en santé
Un patient opéré avant le week-end a un moins bon pronostic
Maladie rénale chronique : des pistes concrètes pour améliorer le dépistage
Covid : les risques de complications sont présents jusqu’à trente mois après hospitalisation