À côté des facteurs de risque classique de fracture ostéoporotique, d’autres facteurs favorisants semblent être en cause comme les troubles nutritionnels (patients cachectiques), l’hypogonadisme, les troubles du métabolisme phosphocalcique ou encore l’infection par le VIH en elle-même. À noter qu’un hypogonadisme est retrouvé chez 20 à 30 % des hommes HIV + tous stades confondus [7].
Les facteurs de risque de fracture
Publié le 01/06/2010
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : Bilan spécialistes
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