MIEUX que la potion magique ! HAL (pour Hybride Assistive Limb) est un exosquelette que l’on déploie sur son dos et ses membres pour décupler ses forces musculaires. Doté de microprocesseurs, il interprète les signaux de mouvements envoyés par le cerveau et les amplifie. Avec HAL sur le dos, n’importe quel individu devient capable de porter une charge très lourde et une personne à mobilité réduite peut se déplacer. L’engin est commercialisé par la société japonaise Cyberdine (www.cyberdyne.jp/english).
Et ce n’est pas fini. Demain, on pourra doter les robots du sens du toucher avec la peau synthétique (e-skin) développée par un groupe de chercheurs de l’université de Berkeley. Cette « peau » à base de nanofils sensibles à la pression devrait permettre aux robots d’adapter leurs gestes à la résistance des objets à saisir. Et de déplacer un œuf sans le briser après avoir transporté des charges de plusieurs kilos.
Ces deux innovations figurent parmi les lauréats du Palmarès Netexplorateur, un observatoire de l’innovation numérique mondiale, qui tient son 4e forum à l’UNESCO, à Paris, les 3 et 4 février.
La perturbation stromale, nouveau biomarqueur des cancers du sein agressifs
La vaccination anti-HPV au collège est bien acceptée mais l’information doit être renforcée
VIH : les statines recommandées en prévention primaire de l’athérosclérose aux États-Unis
L’ovéporexton, une nouvelle molécule efficace dans la narcolepsie de type 1