Si l’on s’en réfère à une étude publiée par des chercheurs américains et espagnols, les infirmières sont à risque majoré d’asthme d’origine professionnelle. A. A. Arif et coll. ont évalué les diagnostics d’asthme et d’hyperréactivité bronchique posés après le début de l’activité professionnelle. Ils en ont conclu que l’exposition aux produits de nettoyage, au latex des gants, aux traitements en aérosol ainsi que toutes les tâches comportant des adhésifs, de la colle ou des solvants multipliaient le risque de survenue de ces pathologies par un facteur allant de 1,5 à 2.
Occup. Environ. Med, édition avancée en ligne.
Maladie de Charcot : les troubles du sommeil précéderaient l’apparition des symptômes moteurs
Recherche
Cohorte ComPaRe : cinq ans d’enseignements tirés des patients
Traiter l’obésité pédiatrique améliore la santé cardiométabolique à long terme
Moins d’épisiotomies ne signifie pas plus de lésions des sphincters de l’anus