Il faut préciser le siège de la douleur qui est le plus souvent antérieur ou externe.
Les irradiations, notamment distales dans le bras, pouvant égarer le diagnostic.
Les circonstances d'apparition : traumatique ou non, début brutal ou progressif.
L'horaire de la douleur : mécanique lors de certains mouvements (préciser s'il s'agit d'abduction ou d'antépulsion et à partir de quel degré d'élévation) ou nocturne, lorsque le patient est couché sur son épaule.
Les signes d'accompagnement (cervicalgie, altération de l'état général, autre localisation douloureuse).
Le degré de handicap dans la vie quotidienne (habillage, toilette).
La durée d'évolution et les thérapeutiques déjà entreprises.
L’âge, le côté dominant, la profession, les activités de loisir.
Les antécédents médicaux (diabète sucré, prises de médicaments).
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