› Le rappel de 5 ans comporte désormais la valence coquelucheuse (vaccin quadrivalent « pédiatrique » DTCaP). La durée de protection moindre conférée par les vaccins coquelucheux acellulaires rend ce rappel indispensable.
› Le rappel de 11-13 ans comporte également la valence coquelucheuse mais utilise le vaccin quadrivalent « adulte » (dTcaP) à doses réduites d’antigènes.
› Un rapport récent du CTV/HCSP [3] a fait le point sur les données actuellement disponibles d’efficacité et de tolérance des vaccins contre le papillomavirus qui sont l’objet en France de campagnes de dénigrement et de désinformation sans précédent (voir encadré E2). Alors que des données d’utilisation sur le terrain confirment l’efficacité du vaccin pour la prévention des lésions cervicales de haut grade, aucune donnée scientifique ne confirme le lien entre cette vaccination et les maladies auto-immunes, notamment sclérose en plaques, fait confirmé par deux grandes études récentes [4-5]. La vaccination contre le papillomavirus, malgré les polémiques actuelles est recommandée chez toutes les filles de 11 à 14 ans. Une des doses de ce vaccin peut être co-administrée avec le rappel dTcaP de 11- 13 ans. Un schéma vaccinal à 2 doses espacées de 6 mois est recommandé lorsque la vaccination est initiée dans cette tranche d’âge.
Mise au point
La périménopause
Mise au point
La sclérose en plaques
Etude et Pratique
Appendicite aiguë de l’enfant : chirurgie ou antibiotiques ?
Mise au point
Le suivi des patients immunodéprimés en soins primaires