• Non douloureux mais responsable d’une fatigabilité à la marche, d’une démarche disgracieuse ou d’une usure particulière des chaussures;
• Réductible en décharge ainsi qu’en charge sur les pointes ou lors de la mise en flexion dorsale forcée du gros orteil (l’assise plantaire se modifie, le squelette jambier tournant en rotation externe);
• Souple, souvent associé à une hyperlaxité qui favorise la bascule médiale de la tête du talus et du naviculaire.
Il est favorisé par une surcharge pondérale, une hypotonie, un rachitisme, une hyperantéversion du col fémoral, un genu valgum, un os surnuméraire, une brièveté du triceps sural ou une insertion tendineuse atypique.
Mise au point
Troubles psychiatriques : quand évoquer une maladie neurodégénérative ?
Étude et pratique
Complications de FA, l’insuffisance cardiaque plus fréquente que l’AVC
Cas clinique
L’ictus amnésique idiopathique
Recommandations
Antibiothérapies dans les infections pédiatriques courantes (2/2)