• Le succès du calendrier vaccinal simplifié du nourrisson dépend de son application correcte quant au nombre de doses, leur date d’administration et le délai entre les doses.
•Chez l’enfant et l’adolescent, les points clefs sont l’adjonction d’un rappel coquelucheux à 6 ans et le maintien et l’amélioration de la vaccination des filles contre le papillomavirus entre 11 et 14 ans.
• Chez l’adulte, la stratégie de vaccination contre la coqueluche est renforcée : rappel à l’âge de 25 ans, introduction de rappels chez l’adulte dans le cadre de la stratégie du cocooning et chez les professionnels de santé.
•La non-application des recommandations vaccinales met en péril l’impact attendu des programmes de vaccination sur l’épidémiologie des maladies : il s’agit des infections invasives à méningocoque C dont l’incidence augmente, de la rougeole dont l’élimination est compromise, de la vaccination papillomavirus et de la grippe. Les méningites tuberculeuses chez les jeunes enfants pourraient réapparaître si les enfants à risque, éligibles à la vaccination ne sont pas effectivement vaccinés, particulièrement hors Île de France.
•Il existe de nouvelles règles pour l’obligation vaccinale hépatite B des professionnels de santé et de nouveaux schémas vaccinaux chez les non répondeurs et en situation de nécessité d’immunisation rapide.
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