-› Les traitements topiques ou/et répétés augmentent probablement le risque de sensibilisation, et doivent donc être évités lorsque cela est possible
-› La posologie du médicament et ses modalités d’administration influencent la fréquence des réactions. Ainsi, dans les cas d’allergie aux pénicillines ou à l’insuline, il est depuis longtemps rapporté que les administrations intermittentes et répétées sont plus
sensibilisantes qu’un traitement ininterrompu. Le patient sensibilisé réagit alors à des doses minimes.
-› La voie parentérale est la plus immunogène
-› Globalement, l’atopie ne représente pas un facteur de risque significatif d’allergie médicamenteuse, en termes de fréquence, mais elle pourrait augmenter le risque de réactions anaphylactiques allergiques et non allergiques ;
-› Certaines infections, virales notamment (HSV, EBV, CMV, VIH, etc.), et certaines pathologies nécessitant des traitements longs et/ou répétés sont associées à un risque accru d’HS médicamenteuse ;
-› La plupart des études démontrent que les femmes sont plus souvent atteintes que les hommes. Il est par ailleurs souvent rapporté que les enfants sont moins concernés par ce type de réactions que les adultes.
Mise au point
Troubles psychiatriques : quand évoquer une maladie neurodégénérative ?
Étude et pratique
Complications de FA, l’insuffisance cardiaque plus fréquente que l’AVC
Cas clinique
L’ictus amnésique idiopathique
Recommandations
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