Selon l'association nationale des médecins coordonnateurs et du secteur médico-social (Mcoor), également contactée par le « Quotidien », cette différence pourrait être liée à une « difficulté » pour certaines agences régionales de santé (ARS) à financer les charges de ces primes. « Quoi qu’il en soit, on ne peut être que satisfait de cette prime, il est légitime que le travail de coordination soit reconnu en Ehpad, quel que soit le statut du médecin », indique le Dr Gaël Durel, son président, rappelant que près de 30 % des établissements sont toujours sans médecin coordonnateur.