Contacté ce 26 juillet par « Le Quotidien », le ministère de la Santé et de la Prévention précise que la campagne comporte un volet digital (réseaux sociaux), mais aussi un volet « affichage » dans de nombreux lieux : établissements de santé, cabinets de médecins, commerces de proximité, offices de tourisme, etc. Elle s’inscrit dans la continuité d’une campagne radio nationale qui diffuse le même message depuis une dizaine de jours.

Cibler les régions touristiques

D’une durée de plusieurs semaines, la campagne nationale se déploiera « en complément de ce qui existe déjà l’échelon local et régional (campagnes des ARS et des établissements), précise-t-on au ministère. Nous utilisons notre force de frappe pour toucher la population générale au niveau national ». À noter que celle-ci est relayée par les agences régionales de santé et les préfectures, via différents canaux.

Enfin, une campagne de presse dans les médias régionaux, via de l’achat d’espace, a également démarré. « Nous avons a ciblé la presse des régions les plus fréquentées en période estivale », justifie ainsi Ségur.