- Dans la semaine qui a suivi les attentats, le nombre de donneurs de sang a connu une hausse de 55 % par rapport à une semaine habituelle, avec un total de 88 000 prélèvements réalisés en France. Les files d’attente se sont constituées spontanément, l’élan citoyen n’ayant été sollicité par aucun message de l’EFS (Établissement français du sang).
- La semaine suivante, 10 000 dons étaient encore enregistrés quotidiennement, avant de retrouver les scores normaux.
- 25 à 30 % de ces donneurs-citoyens sont venus pour la première fois, la même proportion concerne d’anciens donneurs qui ne s’étaient plus présentés depuis cinq à dix ans.
- Les dons devant être espacés de huit semaines, on saura à la mi-janvier si les nouveaux donneurs ont entendu l’appel à réitérer leur geste qui leur a été lancé en décembre.
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