Ainsi, même si les données de la littérature manquent encore pour objectiver et quantifier clairement les conséquences de la pornographie chez les jeunes, gynécologues, sexologues et pédopsychiatre se rejoignent dans leurs inquiétudes et s’accordent sur la nécessité d’agir vite.

Outre l’application de la loi sur la protection des mineurs, le CNGOF milite aussi pour que soit développée une véritable éducation à la sexualité dans les écoles. Prévue par la loi de 2001, celle-ci est loin d’être systématique pour le moment.