« Le comité de sélection de l'université de médecine de Tokyo s'arrangeait pour que les filles ne représentent pas plus de 30 % du nombre d'élèves reçus au sein de chaque promotion. La fac a expliqué que sa priorité était de lutter contre les pénuries de docteurs dans les hôpitaux. »
Article "Quand une fac japonaise veut se faire pardonner des années de discrimination" in Les Echos du 8 novembre 2018.
L’affaire Le Scouarnec, miroir des défaillances des instances médicales
Pr Régis Aubry, spécialiste des soins palliatifs : « Analyser collégialement une demande d’aide à mourir évite l’arbitraire et le subjectif »
Lien entre Androcur et méningiome : Bayer, Sandoz et Viatris condamnés au civil en France
Décès du Pr Étienne-Émile Baulieu, père de la pilule abortive