Les cartes sont redistribuées au sein de l’automédication. Novartis a décidé de se désengager de se secteur. Et cède ses parts à GSK pour 10,4 milliards d’euros. Le géant suisse à l’avenir ne comptera plus que sur sa division générique et biosimilaires pour contrebalancer les risques autour des médicaments innovants. Pour GSK en revanche, la stratégie est différente. L’intégration dans sa totalité de l’automédication lui donne les moyens d’optimiser les marges. La dernière grande opération attendue dans l’automédication est désormais la vente programmée par Pfizer. Jusqu’à ce jour, les autres laboratoires ont reculé devant l’importance de l’investissement. En tout état de cause, cette recomposition traduit bien l’obligation pour les big pharmas de concentrer leurs investissements sur des cibles bien choisies. Même les leaders désormais ne sont plus présents sur la totalité de la chaîne du médicament.
Brève
Novartis se retire de l’automédication
Par
Publié le 29/03/2018
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
À Gaza, le chaos laisse peu de place aux soins psychiques
Enfants de la guerre et psychotrauma : carnets de bord de spécialistes français
Fin de vie : l’Académie de médecine réitère son opposition à l’euthanasie
Un médecin sur trois déclare avoir été sujet à l’épuisement professionnel, selon une étude Odoxa-MNH