En l’absence d’innovation thérapeutique marquante, les dépenses de la liste en sus ont progressé de 3 % par rapport à 2015. Elles se sont élevées à 4,9 milliards d’euros. L’hôpital public et le secteur privé non lucratif sont à l’origine des prescriptions de la liste en sus avec une augmentation de 2,2 % des dépenses. En revanche elles se contractent dans les cliniques (– 3% en 2016). Sans surprise, l’oncologie et les immunosuppresseurs expliquent 75 % de la facture. En 2016, le bévacizumab occupait la première place du podium suivi par l’infliximab. Le poste des dispositifs médicaux est également très dynamique avec une hausse de 5,6 % sur l’année. Les implants orthopédiques représentent 43 % des dépenses, suivis par les implants cardiaques et vasculaires d’origine synthétique (21 %) et les stimulateurs cardiaques (11 %).
Brève
Liste en sus, une progression contenue à 3 % en 2016
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Publié le 28/06/2018
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liste en sus
Crédit photo : GARO/PHANIE
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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