Dans un rapport du Sénat publié au coeur de l'été sur les urgences hospitalières, les auteurs taclaient les carences de la médecine de ville. Elle semble de moins en moins prendre sa part des soins non programmés. Et se dégage de la permanence des soins ambulatoires. D'où une explosion des demandes auprès des services d'urgences qui prennent en charge les soins que la médecine ne peut ou ne veut plus assurer. Par ailleurs, le rapport pointe la place à part occupée par les services d'urgence isolés au sein de l'hôpital. La CSMF dénonce un rapport à charge et une vision partielle du Sénat. Elle suggère la mise en oeuvre de mesures comme le développement de prise en charge en amont et du maintien à domicile. Quant à la critique sur la permanence de soins ambulatoire, Jean-Paul Ortiz suggère son élargissement non seulement au samedi matin, mais dès 19 heures en semaine. Ces propositions permettront-elles d'éteindre la polémique ? On peut en douter.
Brève
Urgences hospitalières, Jean-Paul Ortiz (CSMF) s'insurge « de la vision partielle du Sénat »
Par
Publié le 14/09/2017
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail

visuel Ortiz
Crédit photo : GARO/PHANIE
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Transition de genre : la Cpam du Bas-Rhin devant la justice
Plus de 3 700 décès en France liés à la chaleur en 2024, un bilan moins lourd que les deux étés précédents
Affaire Le Scouarnec : l'Ordre des médecins accusé une fois de plus de corporatisme
Procès Le Scouarnec : la Ciivise appelle à mettre fin aux « silences » qui permettent les crimes