Le Congrès de l’American College of Cardiology, qui s’est déroulé du 24 au 27 mars 2012 à Chicago, aura été, en cette année électorale dans notre pays comme outre-Atlantique, l’occasion de dresser plusieurs bilans et retours d’expériences. Non, la physiopathologie n’est pas suffisante pour déterminer l’efficacité et l’innocuité d’une molécule : c’est ce que montre le parcours du vorapaxar, qui rappelle aussi que le traitement à la carte pourra encore se développer, concept aussi repris lorsqu’il s’agit de comparer les chirurgies avec ou sans circulation extra-corporelle.
Mais les vieilles méthodes sont parfois les plus simples notamment pour prendre en charge des syndromes coronaires aigus, comme on l’a vu dans le travail d’une équipe brésilienne.
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