« Pour favoriser le bon usage du médicament et la vigilance, il faut récompenser la vertu. On pourrait, par exemple, rémunérer les médecins ou leur permettre de faire davantage de formation s’ils s’engagent dans une démarche positive dans le sens de l’indépendance. De même, si on met en place des outils favorisant le bon usage du médicament avec un retour sur objectif via le ROSP, ça me paraîtrait de la bonne gestion. Enfin, concernant la pharmaco-vigilance et les déclarations d’effets indésirables, là encore il ne me semblerait pas absurde de dédommager les médecins pour cette tâche qui est, quand même, une action de santé publique. »
*Médecin généraliste aux Ulis et membre du Collège de la médecine générale.
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