Le plan d’économies pour l’assurance-maladie prévoyant 3,5 milliards d’euros d’efforts supplémentaires sur le médicament (baisses de prix et développement du générique) dans les trois prochaines années, est perçu par le LEEM comme « un plan de facilité » persistant « dans la voie d’une régulation punitive et court-termiste ».
Un désaveu cinglant
L’organisation patronale s’élève depuis plusieurs années contre une « régulation comptable » faisant peser sur le médicament l’essentiel des économies demandées. La dernière loi de financement de la Sécurité sociale faisait encore supporter un milliard d’euros d’économies par les laboratoires pour la troisième année consécutive. Pour le LEEM, ces dernières mesures constituent « un désaveu cinglant de la stratégie industrielle soutenue au plus haut niveau de l’État ».
Les Entreprises du médicament appellent le gouvernement « à se ressaisir d’urgence, et à mettre en cohérence ses ambitions industrielles avec sa stratégie de maîtrise des comptes ».
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