« L’approche du Dr Alexandre n’est pas celle d’un scientifique, accuse le Pr Jean-François Toussaint, mais celle d’un littérateur qui n’a jamais publié d’étude dans les revues à comité de lecture pour apporter la moindre argumentation étayée à ses thèses. Quand on écrit un livre titré « la mort de la mort », c’est qu’on n’a rien compris à la vie et totalement perdu le sens du réel. Les nanotechnologies sont du bla-bla et du vent, j’attends qu’elles aient permis de traiter la moindre pathologie. On ne remplacera pas le vivant par des puces électroniques. Quant à l’intelligence artificielle, je l’utilise dans mes travaux comme un outil utile pour les faire avancer et je ne considère ni l’IA, ni les nouvelles technologies comme des Graal.
« Au contraire, dans notre étude nous montrons qu’elles peuvent créer des inter-actions complexes aux effets délétères. Le Dr Alexandre reconnaît l’existence du plafond de longévité devant lequel nous sommes aujourd’hui, mais les risques pour la santé et pour la longévité liés à ces effets des technologies lui échappent. Nous alertons à leur sujet, au lieu de nous livrer à des élucubrations qui devraient être rangées au rayon BD. »
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