Selon l’UMESPE (branche spécialiste de la CSMF), le financement par les ARS (Agences régionales de Santé) des gardes et astreintes des médecins spécialistes en établissements privés, « déjà largement insuffisant », est en train de diminuer encore. Pour le syndicat, la faute en incombe aux « arbitrages faits par les ARS et profitant essentiellement aux établissements de soins publics ».
L’UMESPE cite « la situation particulièrement injuste des pédiatres en maternité », tout comme celle de « l’ensemble des médecins spécialistes exerçant dans des établissements disposant d’un service d’urgences reconnu ». Pour ces derniers, regrette le syndicat, les ARS ne prennent « en considération financière que trois ou quatre lignes de garde ».
L’UMESPE demande au gouvernement de prendre en compte cet état de fait, et de faire en sorte que ces spécialistes soient rémunérés « pour la contrainte que constitue l’astreinte ».
L’IA, déjà une réalité mais pas sans de bonnes pratiques
Dr Yann-Maël Le Douarin (DGOS) : « Analysons les solutions d’intelligence artificielle sereinement et ensemble »
Comment gérer la crise en cas d’attaque, un RSSI témoigne
Pourquoi l’usage du DMP traîne autant à l’hôpital