Le Parti socialiste n’a pas attendu pour condamner, dès la semaine dernière, « une politique de fragilisation du service public de santé ». Plus que les tarifs, c’est le nombre de postes supprimés dans les hôpitaux publics en 2009 (9 800 emplois, voir « le Quotidien » du 15 mars) qui a fait réagir le PS dont la secrétaire nationale à la Santé, Marisol Touraine, a constaté « la dégradation des conditions de prise en charge des patients et des conditions de travail des personnels hospitaliers ».
« En s’attaquant à l’hôpital public, le gouvernement s’attaque à la fois à l’égalité d’accès aux soins et à l’excellence de la médecine française. La poursuite de cette logique menace à court terme notre système de soins », affirme le PS. Marisol Touraine demande que soient réaffirmées les missions de service public de l’hôpital, le recentrage sur ses missions essentielles et l’amélioration du dialogue social avec les personnels hospitaliers.
Clinique des données du CHU de Nantes : vers un outil d’aide à la décision pour détecter les anévrismes intracrâniens
L’IA, déjà une réalité mais pas sans de bonnes pratiques
Dr Yann-Maël Le Douarin (DGOS) : « Analysons les solutions d’intelligence artificielle sereinement et ensemble »
Comment gérer la crise en cas d’attaque, un RSSI témoigne