Plus d’un praticien sur deux conservait même comme mode de gestion de son agenda tout ce qu’il y a de plus classique : 56 % gérant eux-mêmes leur rendez-vous par téléphone, en face-à-face ou le cas échéant par mail. Le reste ayant recours pour ce faire, soit à une secrétaire salariée, soit à un secrétariat externalisé.

Pour l’avenir, la plupart des praticiens ne semblent guère prêts de changer leurs habitudes. Moins d’un quart de ceux qui n’ont pas eu recours aux services de e-agenda envisageant de les proposer à leurs patients…

Enquête Cessim/IPSOS réalisée auprès de 607 médecins généralistes du 6 avril au 24 juillet 2016