La violence se banalise de plus en plus et il est facile de comprendre une telle généralisation dans un cabinet de médecin généraliste. Outre les remarques et propos désobligeants des patients, nous sommes aussi des victimes faciles pour les organismes sociaux qui, avec beaucoup de perversion, arrivent à nous menacer.
C'est ainsi que j'ai subi ce « harcèlement » de la part d'un délégué médical (qui, en plus, est arrivé à molester ma secrétaire). Le résultat, dépôt de plainte de la part de la secrétaire et de moi-même; lesquelles n'ont pas été jugées recevables. La Caisse n’a fait aucune excuse. D’où une petite déprime passagère...
Jusqu’à quatre fois plus d’antibiotiques prescrits quand le patient est demandeur
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« Des endroits où on n’intervient plus » : l’alerte de SOS Médecins à la veille de la mobilisation contre les violences
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