CSMF et SML réunissent leurs troupes cette fin de semaine à Lille et à Marseille. Après le lancement de la « Stratégie nationale de santé » du gouvernement et au lendemain de l’annonce hier jeudi du PLFSS 2014, le discours de Marisol Touraine vendredi à l’université d’été de la CSMF sera évidemment très attendu. « On attend des réponses de sa part. Et, notamment, savoir si l’on va vers un NHS à la Française ou si l’on garde un système qui marche sur ses deux jambes », annonce Michel Chassang. Au même moment, la ministre aux Personnes âgées, Michèle Delaunay sera l’hôte du SML. A Marseille, elle pourrait préciser la place du médecin libéral dans la future loi sur l’autonomie qui doit être présentée avant la fin de l’année. Pour le reste, la CSMF a décidé de centrer ses débats sur un thème futuriste : « E-santé : la révolution de velours de la médecine libérale ». La matinée de dimanche sera plus politique, la dernière table ronde ouvrant sur un thème-programme : « Quel projet politique pour la santé en France ?» Sont annoncés entre autres, lors de ce dernier rendez-vous, le patron de la CNAMTS, Frédéric Van Roekeghem et le nouveau président de l’Ordre, Patrick Bouet. Autre fil rouge à Marseille pour le congrès du SML axé sur la prévention, mais avec des ouvertures sur « l’offre de soins de proximité » et le « parcours de soins libéral ». Le ton se veut offensif, Roger Rua dénonçant « les mesures ambiguës et de moins en moins libérales qui nous sont imposées sous la menace ».
Rentrée syndicale à la CSMF et au SML
Publié le 27/09/2013
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Généraliste: 2654
Jusqu’à quatre fois plus d’antibiotiques prescrits quand le patient est demandeur
Face au casse-tête des déplacements, les médecins franciliens s’adaptent
« Des endroits où on n’intervient plus » : l’alerte de SOS Médecins à la veille de la mobilisation contre les violences
Renoncement aux soins : une femme sur deux sacrifie son suivi gynécologique