Gynécologie sans frontières organise, ce vendredi à Paris, sa 4ème journée humanitaire sur la santé des femmes au cours de laquelle l’ONG doit dévoiler dix actions à mettre en oeuvre, dès 2014, pour impliquer les médecins dans la prise en charge des femmes victimes de violences. À cette occasion, des médecins, des sages-femmes et d’autres acteurs de la périnatalité signeront un manifeste pour lutter contre les violences faites aux femmes.
Une récente enquête de l’ANEMF, réalisée auprès de 1 472 étudiants en médecine, montrait que 96 % d’entre eux auraient souhaité bénéficier d’une formation pour mieux prendre en charge les victimes de violences.
Les maillages départementaux, échelons intermédiaires indispensables de l’attractivité médicale
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