Pendant la campagne présidentielle, le candidat Emmanuel Macron avait annoncé son intention de rendre ce dispositif d'avance de frais « généralisable », c'est-à-dire facultatif, et non « généralisé ».

La loi de santé prévoit que le tiers payant deviendra un droit pour l'ensemble des patients à compter du 30 novembre pour la seule part remboursée par l'assurance-maladie obligatoire, au grand dam des syndicats de médecins libéraux.

Cependant, la loi ne prévoit pas de sanction pour les praticiens refusant d'appliquer la mesure.